Paul McCartney and the Wings : Band on the Run. Chronique.

Band on the run
Paul McCartney and The Wings.

Août 1973, Voila 3 ans maintenant que les Beatles ont explosé, « the dream is over » comme le chante Lennon. McCartney, à du mal à supporter cette séparation, c’est un mec de bande. Après 2 albums solo, plutôt bon, Paul craque, il lui faut un groupe ! Rapidemement il crée les Wings. (Groupe qui deviendra vite à géométrie variable !) Paul en est bien sur le dictateur génial, il compose tous les titres. Le premier album marche, le second décolle, le troisième est un carton monstrueux peut être le plus important de McCartney en « solo ».
Band On The Run.



En ce mois d’août 73, les Wings vont mal Henry McCullough et de Denny Seiwell (respectivement batteur et guitariste) s’en vont. Les Wings s’envolent à 3 vers le Nigeria, pour enregistrer dans des conditions déplorable Band On The Run. Paul, Linda McCartney, et Denny Laine, vont en quelques semaines, de quasi vacances, enregistrer dans la chaleur et l’humidité, dans un studio mal isolé, 10 titres. 10 morceaux géniaux ! « Band on the run » le premier morceau (avec 3 variation rythmique en 3 minutes et quelques) Donne le ton de tout le disque du rock fignoler comme de la pop. Les titres s’enchaînent « Jet », « Let me roll it » (Un pique à Lennon) « Mamunia » et « bluebird » sont les 2 seuls ballades de l’album.
Et « Picasso’s lasts words » monté comme un rappel de toute les chansons du disque.
Le disque est extrêmement varié, mais il est complet ! Macca prouve au monde, qu’avec ou sans les Beatles il est un grand, un King of pop, un foutu artiste !
Pour la petite histoire il parait que Lennon adorait Band on the Run !