La sainte diablesse.

Alors qu'elle joue la sainte diablesse sur le piano
La douce demoiselle clos à demi ses paupières.
La musique frémis aux accords des coeur de pierres,
Et dévoile doucement avec malice le haut de son dos.
La mélodie légère qui prend de l'altitude dans la pièce,
Découvre petit à petit ses longues et belles jambes.
La chanson d'amour ris pourtant à ton visage d'ambre.
Elle murmure le prénom de son amour, mais qui est ce ?
L'instrument lourd des cordes échappe à la pesanteur,
La douce demoiselle sourit et laisse voir son âme.
Les notes folles courent aux bougies et allument la flamme.
Alors que le bas de son dos apparaît, né le chant libérateur.
Les harmonies coulent de source et sonne au plus profond.
Les derniers voiles qui la couvrent font paraître le mystère.
Le vent de musique la prend dans ses bras et l'extirpe de terre.
Alors que la musique fini de découvrir les monts et les vallons.
La douce demoiselle chante encore sur le piano ses sentiments,
Et la musique raisonne d'entre les murs qui se disloquent soudain.
Et l'amour fini sa mélodie de la sainte diablesse et me tend la main
Je saisie dans son vole la douce demoiselle qui me veux pour amant.