Hum... ça sent bon...

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... le chocolat qui fond pour la mousse, la brioche qui monte dans le four, le vase remplit de lila sur la table, le café quand on ouvre la boite, la neige, le vent dans mes cheveux, le bain moussant, la foret en automne, l'herbe aprés l'orage l'été, le linge fraichement lavé, la lavande dans mon tiroir à chausettes, le vin bien rouge, les truffes au chocolat qui attendent noel à la cave, le pain gateau au raisin dans le chocolat du matin, les litchies, la tomate du jardin et le basilic, mon doudou disparut, les cerises ou les mures que l'on mange sur l'arbre, le mixa bébé, la peau de mon neveu, le cahier qu'on ouvre pour la premiére fois, l'air de la mer, l'odeur d'un cheval aprés le travail, la maison aprés les vacances, la soupe aux poireaux et aux pommes de terre, le buis chez ma grand mére mylu, les poires de son jardin, le poulet rotie et ses haricots vert d'anciens dimanche, les carotes de ma grande tante, l'eucaliptus et le jasmin dans son "jardin", la mousse à raser, la salade du jardin de mon pére et assaisonné par mon frére, l'odeur du cigare, des bougies sur un gateau, de ton parfum, de ma poupée, de la peinture, des pinceaux tout doux, le cuir, les fromages, la miolette extra vielle, une parfumerie, le sapin de noel, mon chien lavé, le bois scié, le petit pot pomme banane de Robin, les pots pomme-coing, le pain chaud, un ballon de basket, l'abricot, la peche, toi ...

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Il est trés beau texte. Vraiment trés beau.

Mon frére c'est plutot la salade, la banane trempé dans le chocolat, le brownies tiéde dans le lait, c'est trés vert, trés fruité, coloré et plein de goûts (échalotte, piquant, epices) et toujours trés bon.

Mon frére c'est fast food et traiteur chinois, mayonaise, viande, vin, "café pétrole" vous savez quand on met plus de café que d'eau, nutella par dessus tout, un suicide diététique qui fait parfois du bien.

Mon frére c'est trés sucré, je le verrai toujours avec des bonbons partout même si il a changé, mangeant des platrés de pates parcekil aimait rien d'autre, avec des idées bizarre vite oublié, comme un quinaman que je n'oublirai pas.

Mon pére c'est des speculoos, du pain d'épice, du fromage, du vin, un bon café, une gastronomie traditionnelle et de teroires. De la cassonnade et pas de sucre !

Ma mére c'est des crevettes, du poissons en general, un avocat une mangue bien mure et des figues à manger avec toute la grace dont elle est capable.
Dgé c'est une image de madeleine au nutella, de salade de riz, de gateau, de sucré en fait, de fraicheur aprés de grosses chaleurs et de soleil.
Izzy c'est du chocolat à la menthe, consommé en amatrice avec Dgé, c'est un gateau de sa maman, et bcp de trucs qui se mangent.
Toi, c'est une cuisine étrange dont j'ai pas fait le tour, un mélange sucré salé des plus interressant, avec pour cuisiniére une pers qui connait son affaire, mais je garde en tete un gout de chocolat, de glace à l'italienne, de tartines, de miel, de frais et de rose...

Je n'ai qu'une chose a dire Olie, j'adore l'idée!!!!! Razz

MIAM!

Les garçons

L’un est comme ça, l’autre ainsi et le troisième autrement.
Un, deux, trois nous irons loin.
Tous unis, tous solidaires, tous attentifs,
Ils sont là, présent l’un pour l’autre
Leurs forces et leurs faiblesses sont partagées
Ils sont eux avec plus ou moins de difficultés mais ils se sentent eux sans ordonnance.
Ils grandissent, vieillissent avec en tête leur premier souvenir : eux
Des images de rires, de plaisirs, de rage et de peur
Unis pour la vie par une décision dans haut
Unis pour la vie par leur seule volonté
Ils n’ont pas choisit mais ils le font tout les jours
Un clan, un trio de garçons inséparables.
Ensemble depuis toujours, ensemble tout les jours, ensemble pour toujours
Ecoles, maisons, amis, jeux et loisirs pour trois et pour chacun
Quiétude d’être entouré, et peur de ne plus l’être bientôt
Vie abondante, vie effrayante
Leurs plus grandes peurs : eux
Amis, confidents, protecteurs, joueurs,
Adversaires, rivaux, mais jamais ennemis
Rudes parfois, adorés dans leurs souvenirs
Ils ont gardé le meilleur, effacé les difficultés d’ententes toujours présentes
Quelques mois, jamais plus ne les ont séparés ils sont des triplés de cœur
Pas toujours d’accord mais souvent en accord
Grand ensemble, petit à trois.

A elle

Comment faire pour écrire ça ?
Comment tout dire en quelques lignes,
Insuffisance du language, mais licence de dire.
Je suis un peu perdu et pour la première fois.
Je me pose des questions sur cet art, si signifiant mais plein d'insignifiances.
Je tenterai d'écrire sur cette page blanche
Ce que je sais en capital,
Sans autre but que de me dire dans quelques heures,
ça ne va pas du tout, c'est pas ça, elle n'est pas là.
Encore une fois je la laisse me guider et m'apprendre.

"Je vais vous parler d'une femme extraordinaire …"
Non ce n'est pas ça.
Je vais vous parler d'une femme.
Une femme qui exercée sur moi une influence que je commence à percevoir,
Et qui me réjouit à chaque fois.
Ses bonnes idées qui flottent en l'air, portée par une voix douce et qui sentent bon les fleurs de mon enfance.
Senteur d'avant, permission de garder ce flacon de princesse pour jouer encore et encore, à elle.

Toujours là, depuis toujours,
Elle est elle et je suis elle.

Elle est mon amie et plus encore,
Elle me supporte,
J'ai voulut la protéger de tous ceux qui ont voulut l'égratigner, l'atteindre,
J'ai voulut essuyer ses larmes, lui dire je t'aime,
Des fois les choses nous dépassent et nous rattrapent.

Elle est là, même quand c'était à moi d'être ici.

Elle a perdu et tout gagné.
Une petite bette noire s'est immiscée en son sein.
Elle la regardé, lui a dit de partir, cette vermine a achevé son dessein,
Et a même prolongé le supplice.

Pleins de concessions, de chamboulements, de pleurs et de peurs.
Elle n'était plus tout à fait elle, ou finalement elle par excellence.
Elle a eut peur pour elle, pour nous.

Nous toucher, nous attrister,

Elle ne le sera jamais plus
Les optimistes diront : Pour le meilleur ? … peut être
Mais je n'y crois plus,
J'ai rêvé d'elle quand j'étais avec elle.
Elle a laissé derrière sa jeunesse, sa beauté, ses certitudes.
J'ai changé avec elle, pour elle, et finalement pour moi.
Elle connaît plus que jamais sa fragilité, son humanité.
Elle ne nargue plus la vie.

Mais elle joue avec.
Elle m'apprend comment faire
Elle danse en compagnie comme toujours mais plus comme avant
Maintenant c'est elle qui mène,
Nous montre ces petits pas légers, improvisés mais sûrs.
On essaie, on trébuche.

La vie sans elle je ne l'imagine pas.
La force et la force de la vie
La force est la force de la vie
Elle ne renonce jamais et m'inculque l'entêtement.
Elle est mon autre en plus vieux, avec fierté je lui ressemble finalement.
Elle est la vie et l'offre sans concession.
Plus tranquille, plus attentive,
Elle s'inquiète encore mais des choses qui en valent la peine.
Elle voudrait juste la paix.

Elle veut vivre avec nous, simplement,
Des couleurs pleins les yeux et la bouche, elle nous contemple et nous aide.
Elle embrase son petit-fils,
Rayonnant, il lui redonne son sourire et tombe dans ses bras,
Toujours ouverts, ils accueillent, la vie des autres,
Les doléances et les joies de tout un monde,
Avec simplicité, comme chacun peut.
La force de la vie.
Elle gère son bonheur comme son planning, sans horaire précis, avec générosité, et peu de mots.

Pour elle, mille ne suffirait pas, alors j'en choisis trois.

Une façon de te le dire.