* Un bout de blanc *
Je rejoins Gérôme, Pacôme et un autre sur le chemin ne sachant à quel saint me vouer
Ensembles, toujours seuls, entre voisins
Monachisme urbain, seuls avec tous.
Je ne faisais que des bêtises quand tu n’étais pas là
Mais tout ça part en fumé, disparaît dans le tunnel noir et brûlant
Ou peut être dans cette glace attendue et déjà regrettée qui chaque fois me montre la voie
J’écoute, j’apprends de ces marchands de rêves.
J’ai choisit. Je deviendrais.
Ne pas changer pour tt changer et pourtant…
Non non rien a changé,
Une autre vie en attendant,
Rapide et lente.
Rangement.
Errance déterminée rue de la paix
J’ai demandée à la lune pour hier
Je sais, maintenant je vois pour demain
En aventurier, je saute
*
*
*
*
Comme dans un film et au théâtre, au conditionnel
Mais pas tt fait mon paillasson est trop occupé, je ne suis qu’un homme.
J’espère l’ouverture de cette fenêtre magique
Qui me permettra de récolter les fruits de ma culture
Avant l’heure fatidique.
Tu es là je te vois.
Mon potager attend et ma chaise à bascule aussi,
Le lin blanc y sera bientôt pour un Alegria dansant.
Un rêve, un doux rêve, un pied d’arc-en-ciel.
J’ai un allumeur de réverbère, mon soleil et mon sud à moi.
Des mots d’amour chuchotés à l’oreille et tellement attendu.
Encore une fois serre moi, et je t’emmène moi,
Là où l’on n’est pas encore allé sans peur et sans frein,
Croquer dans ces rochers aux chocolats qui explosent en nous.
Promesse d’avenir
Plus beau encore que notre présent et que ce passé là, peut être encore plus chlicboum que celui là un peu plus loin.
Une lumière de réverbère à un petit prince, pour quelques mystéres de moins et un word love.