Requiem.
Ils étaient partis vers le soleil.
Ils étaient partis visiter l’orient.
Là, où « Il » a parlé d’amour.
Là, ou on fait brillé les bannières
Comme des étoiles.
Et Jérusalem est un rocher.
Où des frères se haïssent.
Où, eux, étaient venu pour s’aimaient.
Où, les bannières font pleurer
Des larmes de sang.
Et quand on me parle de Jérusalem.
J’entends toujours le même requiem.
Celui des innocents morts pour une terre,
Sainte, Celui d’un désert ou les gens.
N’ont que des pierres pour espoir.
Peut être auraient ils fait un enfant.
Ici dans cette ville de l’orient.
Où, les enfants tremblent souvent.
Où, l’on construit des murs plutôt,
Que des écoles.
Peut être, mais ils n’ont pas eu le temps.
Parce qu’ils sont mort, sur le rocher.
Dans un éclat de lumière et de sang.
A Jérusalem, et en Palestine
On ne tue que des innocents.
Et quand on me parle de Jérusalem.
J’entends toujours le même requiem.
Celui qui pleure sur le désert d’Israël,
Sur les ruines de Palestine, Celui qui
Fait répondre le fusil aux bombes et aux pierres.
Là-bas, la haine, massacre des gens qui s’aiment.
Sur cette terre Sainte, ou le dessins
Des frontières en font des terres ennemies,
L’amour ne compte pour rien, on se bat.
Pour le sable du désert, humain.
Et quand on me parle de Jérusalem.
J’entends toujours le même requiem.
Celui des innocents morts pour
Le sable d’Israël, Celui des innocents
Morts pour les ruines de Palestine.