Et bien, je dirais simplement que le paradoxe de la lecture est le suivant : Un écrivain créer un monde complet, avec des personnage pour son histoire, son roman, ce monde il le contrôle absolument en tout point, il fait ce qu'il veut de ses personnages et mes de ses lecteurs, comme diderot le fait dans jacques la fataliste. Et pourtant par tout ces artifices romanesques, l'auteur ne poursuit qu'un but, donner à voir à son lecteur sa propre réaliter, en le questionnant sur sa réaliter.