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 The Police, concert au stade de France.

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Nemo
Gardien du Savoir
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Nemo


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The Police, concert au stade de France. Empty
MessageSujet: The Police, concert au stade de France.   The Police, concert au stade de France. EmptyMer 26 Sep à 12:48

The Police, concert au stade de France. Sting-police-vancouver


Stade de France. C’est sur, rien que le nom en jette ! Mais qu’on en plus on ajoute The Police au Stade de France, là ça en jette à mort ! Contraient à d’autre star qui quand il font un concert dans un stade, bouffe la moitié de l’enceinte pour installer la scène, The Police, se contente d’un dispositif scénique qui bien qu’important est relativement petit. Même les écrans géants font un peu nains. Qu’importe je suis dans la fosse à 8 ou 10 mètre de la scène. 19h30 arrive le moutard de Sting monte sur scène avec deux copains à lui (un bassiste, et un batteur) Ca se prend pour un ertzat de Police, mais ça vole pas haut, c’est même a peine si ça décolle. Alors que le stade commence a grondé des bruits de fans qui attendent le retour de Police depuis 25 ans, alors que les dernières lumières du soleil sombre dans l’obscurité. Quelques rigolos se demande « Mais que fait la police ? ». Mais 22 les vl’a ! Les trois ex-blonds déboulent avec le son lancinant de la guitare d’Andy Summers qui plaque avec une moue de satisfaction les accords de message in a bottle. Stewart Copeland, avec des gants blancs s’installe derrière ses fûts en y collant de grande claque avec ses baguettes. Et Sting, c’est à peine si l’age l’a marqué, classieux comme pas deux, basse vintage en bandoulière, entonne de sa voix claire et forte les couplets puis le refrain, que le stade entier reprend en chœur. A tel point que de ce premier morceau, ils collent un break et Sting invite le stade entier à reprendre avec lui. Sans temps morts les trois british enchaînent le best of de leur répertoire, avec quelques nouveaux arrangements, notamment pour les morceaux qui sur les albums des années 80 étaient saturé et noyé sous les claviers typique de l’époque, trouvent ici une nouvelle force dans la simplicité à l’efficacité tonitruante du trio. Une chanson sur deux et reprise par tout le stade qui avec Sting chante d’une même voix : « Hi Oh oh oh ! Hi Oh oh Oh ! Hi Oh oh Yeah ! Hi ho ! Hi Yeah ! Hi yeah Oh ! Hi Oh ! Hi Yeah ! Hi yeah oh ! Hi ho ! Hi Yeah ! Hi yeah Oh ! Hi Oh ! Hi Yeah ! Hi yeah oh ! » et les titres défile Summers sur scène comme un gros chat qui tourne autour du truc à manger, et caressant sa guitare avec doigté, comme d’autre caresse le corps d’une femme. Pour quelques chansons Copeland se lève, et va rejoindre derrière sa batterie, deux grands portant surchargé d’instruments étrange de percu’ d’où il tire des sons étonnant, et des rythmique inimitable. A ce moment, là du concert, ils laissent retomber la pression, avec quelques chansons cool. Et avant que tout le monde ne s’endorme Sting et les deux viennent coller une grosse claque au stade de France avec un « Can’t stand losing you » que tout le monde reprend, sur le son virevoltant et syncopé de la gratte et la voix haut percher de Sting qui va chercher jusqu’aux quelques lumières pour les mettre dans les yeux d’un public aux anges. Ces dans ces eaux là, quand le public est excité juste ce qu’il faut, que l’affaire et bien entamer qu’arrive une vieille copine à eux, « Roxanne » toujours aussi chaude depuis le temps. Elle n’a pas pris une ride. Elle allume tout le stade qui hurle comme des fous « Rooooxannnnnnnneeee », mais comme vous le savez ce n’est qu’une fille qui passe, et elle est donc repartie. Alors Sting chante every breath you take, c’est l’heure de sortir les portables et d’appeler la belle de son cœur pour lui offrire une chanson d’amour, qui fait chavirer comme un rien le stade de France, qui s’emplie d’une bouffé d’amour. Et là ils partent … sauf Summers, qui planté avec sa moue leur fait signe de revenir, et ils reviennent avec Henri Padovani, ex-membre français du groupe à l’époque ou Police faisait du punk dans les pubs pourries d’Angleterre et qui était partie quelques temps avant qu’ils ne décrochent leur premier contrat avec un maison de disque. A 4 ils assomment le stade avec next to you tranche de punk de leur jeunes ans. Et le son retombe. Et la lumière se rallume. Et le stade se vide. C’est l’heure de rentré. A la sortie, une voiture blanche avec Police écrit dessus, et des rigolos qui demande aux deux poulets : « vous vendez des posters du groupe ?? »
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