Cette année après les cabrioles de Keith Richards sur le cocotier, qui depuis a probablement été déraciner par les fans, Les Rolling stones ne font qu’un seul passage à Paris, mais quel passage ! Au Stade de France s’il vous plais ! Etant venu tôt, j’eus, avec Aziraphale, une bonne place dans la fosse, à quelques mètres a peine de la scène.
19h30 Pétante, une bande de petit jeunot, les Razorlight, entre en scène pour la première partie. Le groupe former de 4 musiciens se défend plutôt bien. Les compo’ étaient sympas, ceci dit ils étaient un peu dans le même moule que tout les groupe de rock du moment !
Arrive enfin 21h … et quelques brouettes (les Stones respectant un gros quart d’heure de
politesse.) Alors que depuis quelques minutes une ola agité de le stade, et commencé a faire sérieusement chauffer le stade d’impatiente, les lumières se sont éteinte, et dans le murmure d’excitation de la foule, 2 feu d’artifice éclate, et le riff ravageur de Jumping Jack Flash souffle sur le stade qui vient d’éructer ! Les 4 monstres sacrés, les 4 titans, pères fondateurs d’une époque arrivent sur l’immense scène allumée par une bonne centaine de projecteurs. Keith Richards courbé sur sa télécaster, un charmant bandeau fuchsia dans les cheveux. Charlie Watts droit comme un i derrière ces fûts tape, froidement, avec la précision d’un métronome, et une rythmique implacable. Ronni Wood quant à lui marche tranquillement comme pour une promenade balançant sa guitare de droit à gauche. Et enfin Mike Jagger sautillant, virevoltant tellement qu’il en échappe aux regards comme une savonnette qui échappe des mains.
Les musiciens d’appoint sont là aussi, mais n’en parlons pas, ils se font petits.
La première chanson achevé, le déluge d’applaudissement essuyé, Jagger s’adresse au public en français : « Nous sommes content de revenir ici au stade de France … Mieux vaut tard que Jamais ! » la vanne est salué par la foule et ils enchaînent !
Les Stones livrent des morceau que tout le monde connais, ils les jouent impeccablement. Richards tiens la route, et donne des solos monstrueux, bruts et percutants. Ronnie Wood assure sa partie nickel sans accro, prenant un ou deux solos parfaitement réaliser comme une belle pirouette. Jagger à la voix qu’il faut, ne loupe aucun « Oh yeah » de rigueur, et fait participer le stade enthousiaste.
Cette première partie du concert contenait les titres suivant :
Jumpin' Jack Flash
It's Only Rock'n'Roll (But I Like It)
Oh No Not You Again
She's So Cold
Tumbling Dice
As Tears Go By
Streets Of Love
Midnight Rambler
Night Time Is The Night Time
Cette partie du show parfaitement réglé comme du papier à musique c’est passé dans une ambiance survoltée qui à frôler l’éclatement du stade au moment ou les premières notes de Midnight Rambler ont résonné. Midnight Rambler qui a vu Jagger empoigner l’harmonica, pour ce morceau à la puissance faramineuse surtout en live. Il est à noter que pour Streets of love extrait du dernier disque, Jagger avait cette fois ci empoigné une guitare.
Puis est arrivé le quart d’heure Keith Richards après la présentation des musiciens. Le survivant, l’increvable, l’homme à la tête plus dur que le cocotier eu le droit a une ovation en règle, a faire éclater un applaudimètre et qui laissa sans voix pendant un instant Keith qui du bout du doigt se débarrassa d’un goutte d’eau naissante au coin de son œil. Le guitariste envoya deux titres, armé d’une guitare acoustique. This Place Is Empty et Before The Make Me Run.
Mike pendant ce temps là, partie prendre une petite douche, nous reviens frais comme un gardon empoigne une guitare et ils entament Miss You. Cependant le passage acoustique de Keith semble avoir un peu calmer le stade qui s’endors un peu sur les lauriers des Stones. Quand soudain dans les hurlements de la foule réveiller soudainement, une partie de la scène soulève les Rolling Stones et les emportes à travers la foule qui exulte ! Les Stone vogue ainsi jusqu’à la petite scène au milieu du stade.
Ils resteront là cercler de fan durant deux chansons : Rough Justice et Star Me up. Et le retour eu lieu sur Honky tonk Women.
Mais pendant que tout le monde avait les yeux rivés sur le centre du stade derrière, sur la scène principale une bouche géante, avec une langue colossal a été gonflé.
Mais pas le temps de se reposer les Stones emballe la machine et envois 3 chansons tonitruante à la suite, 3 baffes achevant de laisser K.O debout un public déjà aux anges, et qui a déjà crevé le plafond du 7ème ciel :
Sympathy For The Devil, Paint It Black et Brown Sugar.
Et puis en hop, en marmonant un vague salut ... Ils sen vont, le noir ce fait. Et le stade hurle, crie, incendie l’arène, déjà réduit en cendre par les riffs, les solos, les boums de la batterie et la voix infernal.
Les lumières éclate soudain, et tout tranquille les Stones déboule pour le rappel avec You can’t alaways get what you want, et surtout (I can’t get no) satisfaction durant laquelle Jagger s’offre un véritable marathon courant d’un bout à l’autre de la scène.
Les derniers notes tombent, sous le tonner d’applaudissement. Les 4 Rolling stones arrive sur le devant de la scène salut le public, se serre la pince, se font l’accolade. Et puis ils s’en vont. Noir, les derniers pétards de feu d’artifice éclatent. Voilà c’est fini. Ca était diablement court me semble-t-il. J’aurais bien pris double dose …
Les Stones ont faire le show, millimétré, huilé, préparé.Une chose est sur ils n’ont peut être plus exubérance ni l’aura des années 60 – 70. Mais tant que ces 4 mecs là seront encore debout le Rock sera encore vivant.
( N.B : toute les photos ont été prisse par Aurelianne, photographe officiel de l'Anthologie, qui était elle placé dans les tribunes hautes. Merci beaucoup ma chérie. )